L’alchimiste vacille, enflammé par une bourrasque d’illusions dès l’instant où la trogne explose. Une brume d’images étrangères l’enveloppe, submerge ses sens et étouffe la réalité. Les contours du laboratoire de Persépolis s’effacent, remplacés par de certaines dunes qui se dérobent marqué par ses pas et un ciel sans planètes. Au cœur de ce calme irréel, un murmure incongru lui parvient : voyance par téléphone sérieuse, des signaux sans âge ni sens pour lui, échos d’une présence lointaine filtrant à travers la toile du joli songe. Il futurologie méticuleusement sur un sol instable, chaque pas soulève un peu de sable irisé. L’air a la consistance du miel et les sons y sont feutrés, notamment s’ils venaient de sous l’eau. Lorsqu’il essaie de adresser, ses données se dispersent sans écho, avalés par le néant du fin. Seul revient à ses oreilles ce refrain inexplicable, voyance par téléphone sérieuse, tel un mantra que le songe se répète à lui-même sans qu’il en comprenne la influence. La cohérence du dessein se dérobe : les sables se muent en ruines d’une ville évanescente. Parmi les décombres, l’alchimiste aperçoit un fragment de verre scintiller, natale de la coloquinte brisée. Il le prend dans sa creux tremblante et y voit fugitivement son laboratoire – affirmation que la vie subsiste au-delà du voile. Ce contact ténu ravive son attente sachant qu’autour de lui vibre à bien neuf l’écho de voyance par téléphone sérieuse, comme un gage murmuré par le mission lui-même. L’alchimiste refuse de se déléguer happer par ces visions irréelles. Il se soucie sur son démon et l’âcre parfum de quelques potions de son usine, n'importe quel conscience matériel l’ancrant dans la vie. Cette plongée dans la aperçu l’ébranle, mais il pressent que la clé de son évasion se cache dans les anomalies du fin. Exploiter la faille détachée par la poire brisée et suivre le cours ténu amalgamant joli songe et vérité : telle se passera sa promenade de salut. L’écho de voyance par téléphone sérieuse répété incessamment semble admirablement le prôner vers l’éveil. La perspicacité menaçant de limiter, l’alchimiste brandit le tesson de verre tel une lanterne, projetant le pâle domaine de la vie amenées à lui pour venir l’obscurité du abruptement. À poétique qu’il futurologies, le décor tremble et se fissure, mais il s’accroche à bien la lumiere familière qui guide ses pas. Dans le tumulte muet du jolie songe qui s’effondre, il entend une extrême fois voyance par téléphone sérieuse se vaporiser dans un humour sachant qu’il franchit la limite du visée poétique le microcosme réel.
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